Newsletter n°16, janvier 2009

Newsletter n°16, janvier 2009

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L’édito
Dynamiser votre SI avec le Logiciel Libre
Etats généraus ASP Forum
Traçabilité et Monitoring : l’événement
Pourquoi faut-il privilégier le multifibre dans les colonnes verticales ?
Communication Radio Professionnelle
Dernières nouvelles du paiement mobile
Relation client, qu’avons-nous appris en 2008 ?
ToIP : aujourd’hui, un décryptage pas comme les autres
Livre WIMAX
Agenda
Partenaires

Bientôt un quatrième opérateur mobile !

Alors que les opérateurs de services mobiles, les MVNO, ne représentent pas encore 5% du marché français, l’arrivée d’un quatrième acteur d’infrastructure mobile est une bonne nouvelle pour la concurrence. Nous espérons qu’elle sera accompagnée d’une réelle coordination dans l’attribution des fréquences, celles encore en attente d’attribution, et les nouvelles fréquences de la 4G. Une interrogation sur le bien-fondé des licences WiMAX attribuées ne serait pas inutile, puisque les deux opérateurs ayant aujourd’hui une capacité à couvrir le territoire métropolitain ont acheté leurs licences, plutôt que de se soumettre aux concours de beauté (sélection sur dossier) de l’ARCEP, et qu’ils n’ont quasiment rien déployé !

L’arrivée de quatrième compétiteur sur le marché du mobile ne doit pas nous faire oublier la place qui doit être faite aux MVNO : la régulation par les infrastructures, si elle est nécessaire, n’est pas suffisante.Il faut permettre aux acteurs du service mobile d’innover. Après tout, Internet, le coeur de l’innovation des 20 dernières années, est arrivé par des acteurs des services, les ISP (Internet Service Provider), qui n’avaient pas d’infrastructure.

Tout doit être fait pour favoriser en France et en Europe l’émergence de grands acteurs du service, en mesure de rééquilibrer nos capacités d’innovation face aux Google, Facebook et autres MSN.Très bonne année, et bonne lecture à tous.

Philippe Recouppé

Président de Forum ATENA

 

Dynamiser votre système informatique par des solutions à base de logiciel libre

 

Le discours consensuel sur la compétitivité des entreprises reste bien souvent au niveau des généralités. Il ne mentionne jamais l’importance d’un usage efficace des TIC pour l’informatique de la PME/PMI et de façon plus générale, son système d’information impliquant aussi les échanges avec des outils comme la messagerie, la CRM, le workflow, etc…

Parmi les offres existantes, les responsables connaissent encore peu les solutions construites sur des composants à base de logiciel libre.

Le marché est constitué depuis vingt ans de progiciels, avec des contrats sous licence propriétaire payante avec des acteurs de l’offre bien implantés. Une offre basée sur le service bien adapté aux particularités de l’informatique des clients et sur lamaintenance se développe fortement actuellement avec des éditeurs de logiciel libre, associés à des sociétés de service en logiciel libre. La souplesse de leurs interventions,leur adaptabilité est conforme aux besoins spécifiques des PME.

Le nouveau rapport entre fournisseur et client constitue une véritable innovation à l’avantage des PME clientes.

Une autre innovation émergente porte sur la mutualisation entre entreprises ayant des métiers semblable, de façon à faire développer ensemble des logiciels dont la charge est répartie entre les participants. C’est la transposition dans le mondedes entreprises d’un modèle qui a fait ses preuves pour les collectivités locales¹.

Sur le plan de la gestion de projet, de l’évolution du logiciel et de la maintenance, la gestion avec une forge partagée permet un suivi constant des évolutions par les entreprises utilisatrices. On assistera sans doute à un rééquilibrage des prestations entre SSII maître d’œuvre et lesentreprises qui constituent le maître d’ouvrage mutualisé. Certains développements peuvent être payés pour un besoin d’un utilisateur particulier , mais ils sont accessibles à tous, si bien que les autres membres du groupement pourront l’employer quand cela correspondra à une besoin. Des utilisateurs très matures pourrontintervenir dans l’amélioration du code, mais sous le contrôle du maître d’œuvre qui décidera de la validité d’une nouvelle version.

Ce contrôle est indispensable pour l’engagement de sa responsabilité dans le cadre d’une maintenance ou tierce maintenance applicative. Le transfert éventuel de la maintenance par le développeur initial à une tierce maintenance sera grandement facilité par la disponibilité du code et de la documentation. La généralisation d’outils comme les wiki pour les échanges entre entreprises utilisatrices et SSII sera facilité par ce contexte detransparence lié au logiciel libre. Il y a déjà des exemples.

On peut raisonnablement espérer que ces innovations vont contribuer à résoudre les dysfonctionnements entre fournisseurs informatiques et clients qui existent depuis le développement de l’informatique.

La généralisation des compétences informatiques dans les nouvelles générations va grandement faciliter ce processus. Encore faudrait-il que les formations ne se fassent pas exclusivement autour des outils et des méthodes des éditeurs propriétaires, mais ceci est un autre sujet…

La première manifestation sur ce sujet organisée par Forum Atena aura lieu le 22 janvier².

Il y en aura d’autres, ainsi que sur d’autres sujets comme la sécurité, la dématérialisation.

Nous y discuterons le la place du logiciel Libre dans les PME/PMI utilisatrices qui pourront dialoguer avec un plateau d’entreprises de l’offre en logiciel libre ayant des PME comme clients et une entreprise utilisatrice.

 

 

Etats généraux ASP Forum 

La croissance du marché de l’ASP et du SaaS vitale pour le développement des télécoms !

En partenariat avec le Forum Atena, l’ASP Forum organise à la CCI de Paris le 5 mars 2009 (nouvelle date) les 4e états généraux de l’ASP et du SaaS. Aujourd’hui, cette nouvelle industrie en forte croissance représente déjà plus de 20% de l’industrie logicielle. Les services applicatifs en ligne disponibles dans tous les domaines de l’entreprise, de la sécurité au CRM, en passant par les achats et la formation, constituent la nouvelle étape du développement de l’Internet, après la messagerie et le commerce en ligne, et donc de l’industrie des télécommunications. Soucieux d’associer l’industrie des télécommunications à ce développement essentiel de l’industrie IT, l’ASP Forum offre une remise exceptionnelle de 50% à tous les membres du Forum Atena.

Outre l’intervention de personnalités d’envergure comme Bill McNee qui fera un bilan international des nouvelles tendances, en particulier de l’émergence nouvelle du Cloud Computing, de dirigeants qui ont réussi dans cette industrie, d’études récentes, d’ateliers spécialisés, ce sera aussi l’occasion d’organiser des rendez-vous entre professionnels grâce à un nouvel outil de networking en ligne, de la remise du trophée de l’innovation, etc.

Pour en savoir plus : ASP Forum

 

 

Evénement de l’atelier sécurité sur le thème "TRACABILITE et MONITORING" 

Le jeudi 12 février après midi à l’EPF-Ecole d’Ingénieurs Sceaux

La recherche, la collecte et l’utilisation des traces, laissées dans les systèmes d’information sont essentielles pour identifier les attaquants et contrôler l’utilisation des ressources.

La participation est gratuite.

L’agenda détaillé est, avec la demande d’inscription, sur : www.forumatena.org/?q=node/159

Agenda

Accueil entre 13h30 et 14h00, début à 14h00

Les messages : EPF, Forum ATENA, atelier sécurité, Medef Ouest Parisien

Interventions "état de l’art"

• L’enquête judiciaire, une enquête de traçabilité par Christian AGHROUM, Commissaire Divisionnaire, chef de l’OCLCTIC
• De quelle trace parle-t-on ? par Lazaro PEJSACHOWICZ, RSSI de la CNAM TS
• Préservation et collecte des traces, par le Lieutenant-colonel Éric FREYSSINET de la gendarmerie nationale
• Conditions de légalité de la traçabilité des flux en entreprise, par Maître Olivier ITEANU, avocat au barreau de Paris

Pause, vers 15h50
Invité surprise et tirage au sort de livres
Interventions des partenaires solutions

• Verizon business : Identification des risques au travers de ses services d’investigation et de surveillance des données. 
• Wallix : Savoir qui fait quoi, quand, où et comment par AdminBastion
• Websense : Prévenir la perte de données avec Websense Data Security Suite

Table ronde, vers 17h00 – l’amphi interroge les intervenants
Cocktail, à partir de 18h00

 

Demandez sans tarder votre inscription

 

Gérard Peliks

Président de l’atelier sécurité

 

Pourquoi faut-il privilégier le multifibre pour les colonnes verticales ?

L’ARCEP avait préconisé le multifibre en octobre 2008 (http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/recomd-mutual-ftth-1008.pdf) : "Compte tenu de ces incertitudes, l’Autorité préconise que le premier opérateur équipant un immeuble propose aux autres opérateurs de poser des fibres supplémentaires sur la partie terminale, à laquelle ils peuvent venir se raccorder par soudure au point de mutualisation. Le coût correspondant serait partagé ab initio entre les opérateurs intéressés. Cette option viendrait le cas échéant en complément, et non de manière alternative aux solutions de mutualisation envisagées par les opérateurs.

Il s’agit ainsi de définir un minimum commun à l’ensemble des opérateurs qui soit compatible avec toutes les architectures sans créer de contrainte significative. Compte tenu de son surcoût limité, la pose de fibres surnuméraires apparaît comme une pratique de bonne gestion préservant l’avenir."

Pourtant, les récentes annonces des opérateurs indiquent que le mode de déploiement retenu principalement sera le monofibre !Les arguments en faveur du multifibre ne manquent pourtant pas :

• Plus grande pérennité d’une infrastructure appelée à durer 50 ans, ce qui n’est pas négligeable au vu des coûts d’investissements, pour un surcoût extrêmement faible
• Avec deux fibres arrivant jusqu’au domicile de l’abonné, le réseau est beaucoup plus flexible et le dégroupage facilité. Certains opérateurs peuvent se connecter au NRO, d’autres en pied d’immeuble
• La présence de fibres supplémentaires facilite la maintenance et peut réduire la durée des pannes par une intervention plus simple et donc plus rapide
• Cela permet également de ne pas s’interdire de faire un jour de l’unidirectionnel (TX/RX séparés)
• Cela peut permettre à un abonné de souscrire deux abonnements chez deux opérateurs fibre différents, un pour l’internet et l’autre pour la TV, par exemple.

C’est surtout là, à mon avis, que le bât blesse. J’ai récemment testé la mise en service d’une ligne ADSL avec un opérateur alternatif dans un appartement où le précédent locataire n’utilisait pas sa ligne fixe : premier appel à l’opérateur le 1er octobre, mise en service le 22 décembre ..

Les procédures de transfert, mal rôdées et qui donnent lieu à des discussions sans fins entre opérateurs, générant des retards énormes, tout ceci au dépend de l’usager, rendent la migration impossible dans le cas du monofibre. Qui voudra ou pourra se permettre trois mois d’outage ?

Alors à qui cela profite-t-il, sinon à un oligopole qui verrouille totalement un marché devenu totalement captif grâce au monofibre ?Une nouvelle fois, que fait le régulateur ?

Gerard Dupin

Atelier FTTH

 

 

Communication Radio Professionnelle

Dans un contexte mondial en pleine mutation, l’industrie de la Communication Radio Professionnelle est confrontée à de nouveaux défis.

 

N’hésitez pas à demander le programme détaillé et à vous inscrire… Salon CRP

Daniéla Benhassine

Nouvelle Présidente de l’atelier WiFi WiMAX, Organisatrice du congrès international de la Communication Radio Professionnelle.

 

Dernières nouvelles du paiement mobile

Visa lance une application de mobile banking sur Android. L’application permet à l’utilisateur de recevoir des alertes en temps réel du trafic de leurs comptes bancaires mais aussi d’être notifié des offres promotionnelles de certains commerçants avec la possibilité de visualiser géographiquement ces offres via le module GPS. Il sera aussi possible de localiser les distributeurs de monnaie. Pour l’instant, Visa Mobile est disponible pour quelques utilisateurs américains de la carte Chase Visa.

Brandon McGee sur son blog décerne des "Awards" pour les meilleurs services 2008 de Mobile Banking. Intéressant, mais pas d’accord sur tout. En outre, lesservices sont essentiellement anglo-saxons …

Selon l’atelier.fr, en un an, l’argent envoyé aux organisations caritatives via un téléphone portable sur les seuls Etats-Unis d’Amérique a dépassé le demi million de dollars en 2008. Le don par téléphone mobile devient un canal important pour les associations et les organisations nongouvernementales. Sachant que le plafond maximal par geste charitable sur ce canal est de 5 dollars, cela représente plus de 100 000 donateurs. Cela peut paraître une goutte d’eau face aux 10,44 milliards(soit 7,51 milliards d’euros) récoltés sur le web en 2007.

Le fonctionnement est le suivant : les organisations s’enregistrent sur les sites du type Mobile Giving Foundation en payant une cotisation et reçoivent un code. Le donneur envoie un SMSsurtaxé avec ce code. Il est débité sur sa facture opérateur de 5 US$. L’opérateur reçoit sa part (0,05 à 0,15 US$), MGF reçoit entre 0,25 et 0,50 US$ et le reste est reversé à l’organisation caritative.

Note : Le principe est similaire à celui de l’achat spontané d’une sonnerie. Mais sachant que le taux de reversement des opérateurs américains est attractif et que les paliers sont plus élevés qu’en France (5$), cela rend le business modèle intéressant.

 

Président de l’atelier Paiement Mobile

 

Qu’avons-nos appris en 2008 ?

L’année qui vient de s’écouler à été riche en enseignements dans le monde de la relation client ! Non pas parce que certains ont essayé de gérer différemment leurs contacts, d’améliorer leurs services ou de mieux se mettre à l’écoute. Mais plutôt parce que des approches considérées comme caduques ont montré une nouvelle dynamique.

Ainsi, dans le monde du logiciel. A l’instar de la musique, où iTunes à montré que l’on pouvait monnayer des créations dans un monde submergé par le téléchargement gratuit, voilà aussi iStore qui génère du chiffre d’affaires pour les logiciels, alors que certains pensent que les solutions gratuites seules avaient de l’avenir.

Dans la même logique, aux USA, les services d’annuaires téléphoniques gratuits, annoncés comme condamnés, montrent une belle vivacité. Jingle est devenu rentable en moins de 2 ans … et Google continue de rôder son moteur vocal, le diffuse sur iPhone, et agrandit son savoir faire.

Les technologies vocales ont aussi fait parler d’elles au volant, avec SYNC chez Ford, qui arrive bientôt en Europe, avec l’apparition de nombreuses oreillettes et kit mains libres, et même un ministre qui se demande comment traiter ces appareils embarqués qui distraient l’automobiliste.

Gageons que 2009 sera aussi riche en événements ! 

 

Philippe Poux
Président de l’atelier Solutions vocales et relation client

 

Atelier ToIP

Télécoms… Gare aux arnaques !

Le mois dernier, deux pseudo-opérateurs faisaient faillite, laissant une centaine de clients sur la paille : sans accès internet, sans téléphone et avec un crédit signé chez un organisme financier pour les 5 ans à venir. Actuellement, il n’est pas certain que ces clients puissent se détacher de leur engagement auprès de ces organismes financiers.

Comment une telle arnaque peut-elle se produire dans notre joli monde communicant ?

Afin d’éviter ce piège, voici quelques explications qui vous aideront à faire face aux opérateurs peu scrupuleux.

A l’origine de l’arnaque : le leasing ou crédit-bail

Commençons par deux petits rappels :

1) Le leasing ou encore Crédit-Bail (http://fr.wikipedia.org/wiki/Crédit-bail) permet à une entreprise de "louer" un équipement au lieu de l’acheter en une seule fois. L’intérêt pour le client est de lisser le coût de l’équipement dans le temps, pendant sa durée d’exploitation.
Ce service est fourni par des organismes financiers comme un crédit classique. En général, il concerne des biens matériels, comme la voiture, le matériel informatique mais aussi le matériel télécom.

Le schéma classique est le suivant : le client souscrit un contrat avec un organisme financier qui paye le fournisseur.

2) Il y a trois familles de produits que vendent les opérateurs télécoms :
– du matériel (PABX, téléphones, routeurs, ….)
– des liens (ADSL, SDSL, BLR, LL, ….)
– des services (abonnement, minutes, numéros de téléphones, …)

Le matériel est un coût « one shot » à l’achat, tandis que les liens et les services sont facturés tous les mois et/ou à l’usage (minutes). Les liens et services sont donc forcément une source de coûts pour l’opérateur.

Premier piège : la forfaitisation à outrance

Depuis la grande mode des forfaits illimités initiés par les opérateurs résidentiels, les opérateurs d’entreprises ont dû s’adapter pour faire face à la demande de leurs clients. Mais, comme vous le savez, les forfaits illimités ne sont que des inventions statistiques et marketing.

Lorsqu’un opérateur propose un forfait, il doit payer un coût lié à votre utilisation de la ligne, que ce soit pour le téléphone ou l’accès internet. Il propose alors de tout forfaitiser : l’achat du matériel, la connexion internet, les abonnements et les consommations téléphoniques, le tout à un coût très inférieur à ce que vous payez aujourd’hui. Pour réduire encore le coût, il fait un contrat de 36 mois à 72 mois incluant l’ensemble : matériel, liens et services !

Second piège : le profit avant tout

Le client signe un contrat sur plusieurs mois avec l’organisme financier qui lui fera payer un loyer mensuel. Parallèlement, l’organisme financier verse en une seule fois le montant total des loyers à l’opérateur (moins le coût du crédit, bien entendu).
Cela signifie que l’opérateur reçoit une somme d’argent importante pour des services qui ne sont pas encore livrés, comme par exemple les minutes consommées dans les mois à venir. L’opérateur ne provisionne pas ces sommes, mais les dépense immédiatement pour couvrir ses frais quotidiens.

Comment est-ce possible ? Comment un organisme financier peut-il accepter cela ?
Sans doute l’organisme financier se fait-il flouer par l’opérateur qui n’indique que du matériel sur le contrat. Séduit par de belles propositions commerciales qui incluent tous les services, le client, quant à lui, ne vérifie pas le contrat.
Le principe de l’arnaque : le détournement

L’opérateur peu scrupuleux détourne donc le principe même du leasing, qui, dans son fonctionnement normal, ne s’applique qu’aux biens… et non aux services ! (voir explication de l’Association française des sociétés de financement http://www.asf-france.fr/asfsecteurs/indexoui/prescreditbail.htm)

La spirale de l’endettement

Le problème est que l’opérateur doit payer la consommation de son client pour les cinq années à venir. S’il ne provisionne pas la somme, il prend d’énormes risques financiers.
Mécaniquement, les dépenses des fournisseurs augmentent tous les mois.  Mathématiquement, ces dépenses finiront par excéder les recettes… et ce sera la fin.
Vous objecterez que si l’opérateur vend plus, il parviendra toujours à couvrir ses dépenses… Erreur! Aucun marché ne peut prétendre à une croissance à l’infini. Toute augmentation finit par atteindre un point de rupture.

Un bon conseil
Afin d’éviter le piège de l’arnaque au leasing, ne laissez pas votre opérateur abuser de votre crédulité ! Il s’agit de bien lire vos contrats Télécom, et de vérifier scrupuleusement les montants et durées d’engagement.

N’hésitez pas à publier vos commentaires ou m’écrire si vous avez été victime d’un contrat abusif.
Acropolissement vôtre,

Benoît Vallet
Membre de l’atelier ToIP de Forum ATENA

Toutes les dernières news sur la ToIP :

http://www.jaito.com/Newsletter.html

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Atelier Wi-Fi WiMAX

 

Notre livre collectif sur le WiMAX est arrivé dans sa première version ! Si vous aussi aimez lire sur du vrai papier, nous vous proposons de l’acquérir sur le site Lulu, remarquable service d’impression à la demande. Le lien direct est ci-dessous.

Michèle Germain
Responsable des publications de l’atelier WiFi-WiMAX