Nos grand’mères traînaient des porte-monnaie plus ou moins encombrants, remplis d’espèces sonnantes et trébuchantes… Mais petit à petit, sont apparues diverses formes de dématérialisation de l’argent, dont la plus révolutionnaire a été la carte bancaire. Mal adaptée aux petites dépenses, celle-ci a été complétée par le porte-monnaie électronique pour payer le journal et la baguette de tous les jours.
Une nouvelle étape vient d’être franchie avec le paiement mobile, au moyen du « couteau suisse » du 21ème siècle qu’est le téléphone portable. Ceci apporte une nouvelle dimension à l’acte du paiement, qui est sa traçabilité.
Cet article est paru dans le numéro 103 de Signaux, la revue d’ISEP Alumni, « Le nouvel usage des TIC » daté du 18 mai 2012. Il est reproduit avec l’aimable autorisation d’ISEP Alumni.