Newsletter n°49 – avril 2012
Depuis plus de trois mois, un sujet ne cesse de rebondir et de faire polémique, c'est l'arrivée de Free mobile. Les raisons de la remise en cause de l'arrivée de ce troisième acteur sur le marché français du mobile varient dans le temps : modalité d'attribution de la licence 3G, mots d'oiseau au moment du lancement, prix qui serait trop agressif, réalité de la couverture réglementaire, réalité du déploiement, du trafic, contenu du contrat avec Orange, et maintenant montant de la taxe d'aboutissement d'appel, et j'en oublie sans doute encore. Les arguments des uns et des autres ont une certaine valeur, relative, et peuvent alimenter la réflexion, mais ils ne peuvent trancher sur le fond : La France avait besoin d'un quatrième opérateur pour dynamiser son marché. Les politiques et régulateurs ont choisi encore une fois la concurrence par la construction d'une quatrième infrastructure, alors que des alternatives de concurrence par le partage d'infrastructure ou par la concurrence par les services (MVNO) étaient possibles.
La concurrence réelle sur un marché est une des conditions de l'innovation. Le quatrième opérateur est un minimum, et nous aurions du bénéficier de sa présence depuis plus de 10 ans ! Il faut à présent réinterroger la place des MVNO, de VRAI MVNO, avec un espace économique leurs permettant d'innover. L'innovation a eu lieu sur le marché de l'accès Internet fixe, par la concurrence, l'innovation est possible également dans le mobile. Au regard de l'état du dossier FTTH en France, espérons que ces difficultés aideront à la réflexion de fond sur la régulation de l'accès fixe, afin de sortir des errements actuels.
À lire également dans cette lettre les réflexions de fond sur le partage d'infrastructure. Vous aussi vous pouvez vous exprimer, nos colonnes sont ouvertes, en nous soumettant vos textes ou en répondant sur notre site par vos commentaires, toujours bienvenus.
Deux membres de Forum ATENA ont été invités à participer au conclave de réflexion sur le monde du numérique et le monde des contenus culturels, organisé par ALTAIR think tank Culture Médias et Le Cercle Républicain. Ce n'est qu'une étape de réflexion, elle montre la voie quant à la méthode, elle est encore assez décevante quant aux résultats, mais nous ne pouvons qu'encourager ce type d'initiative et nous y associer. Pour plus d'information sur la Synthèse Concertation Culture & Numérique voir http://www.altair-thinktank.com/
Philippe Recouppé, Président du Forum ATENA
Comment avons-nous pu oublier Paul Otlet ?
L'inventeur du CDU, précusreur de Google, a disparu et nous l'avons tous oublié … ou jamais connu. Et pourtant, nous avons tous fréquenté ces bibliothèques où les livres étaient référencés sur des fiches cartonnées aux signes et codages abstraits.
Ce codage, c'est tout simplement le CDU, la Classification Décimale Universelle, inventée par Paul Otlet et Henri La Fontaine, en 1905 ! Afin de permettre à tous les hommes l'accès à la connaissance …
Comme le rappelle Wikipedia, Paul Otlet a même rêvé Internet : « On peut imaginer le télescope électrique, permettant de lire de chez soi des livres exposés dans la salle teleg des grandes bibliothèques, aux pages demandées d’avance. Ce sera le livre téléphoté. »
Il serait heureux de vivre parmi nous et de voir se répandre l'accès aau savoir, il pourchasserai ceux qui cherche à le freiner. Malheureusement, il est mort en 1944, sans grande notoriété. Mais ses compatriotes belges lui ont fait honneur en créant un lieu à sa mémoire, le Mundaneum, à Mons.
Philippe Poux
Mythes et Légendes des technologies vocales
Vous pouvez vous-aussi contribuer au tome 2 de ce livre collectif. Téléchargez la Foire Aux Questions que vous trouverez dans la même page que le lien au dessus.
Reconnaissance automatique et synthèse de la parole sont nées sous l’impulsion de quelques chercheurs, autour du Professeur Jelinek, dans les laboratoires IBM.
Rapidement ce qui semblait aisé en traitement informatisé du signal s’est avéré mathématiquement complexe, gourmand en puissance de calcul … démontrant ainsi que notre cerveau est nettement plus efficace qu’un simple calculateur.
Avec des algorithmes basés sur les modèles de Markov, et l’augmentation régulière de la puissance de calcul des processeurs, ces technologies de la parole sont devenues réalité. On a vu alors des variantes dégradées envahir nos téléphones mobiles et d’autres les serveurs vocaux interactifs, avec plus ou moins de bonheur, laissant le champ libre à plusieurs idées reçues.
MYTHE N° 1 :
LES CLIENTS N’AIMENT PAS PARLER A UN ORDINATEUR
La plupart des responsables de relation client pensent instinctivement déplaire à leurs clients en leur proposant ces technologies, sans étayer leur point de vue sur la moindre étude ou analyse. Et en oubliant que le premier souhait d’un client qui appelle … c’est d’obtenir une réponse. Le mode d’interaction importe peu.
En corollaire, on entend souvent que les technologies de la parole déshumanisent la relation client … rien n’est dit de tel concernant le site web ou les scripts contraignants imposés aux téléacteurs ;-)
Alors, basons-nous sur quelques faits démontrés. L’étude Forrester de début 2010 a montré que les consommateurs notent mieux les systèmes automatisés que les agents pour certaines interactions … car ces derniers sont tellement enfermés dans des scripts qu’ils répondent moins bien qu’un SVI. Le sondage a également révélé que les systèmes téléphoniques automatisés sont un attendus et acceptés comme service par 82 % des clients.
Par ailleurs l’impression désagréable de nombre de services vocaux vient de leur ergonomie déficiente. En effet, pourquoi faire confirmer les demandes lorsque l’on sait que le moteur de reconnaissance est bon dans 96% des cas ? C’est ce qu’a très bien compris Air France avec son service 3654, qui remercie à chaque information client et passe à la phase suivante.
L’étude BVA Service Client 2010 montre que la satisfaction client est de 79% avec un email et 75% au téléphone, contre 93% en face à face …
MYTHE N° 2 :
LES HUMAINS SONT PLUS EFFICACES
Rien ne vaut un être humain, que ce soit pour écouter, comprendre, ou entrer en empathie. Les prescripteurs comme les chercheurs dévoués aux technologies vocales ne cherchent pas à remplacer l’humain, seulement à l’accompagner, l’aider. Et les questions complexes sont plus du ressort de l’intelligence humaine, l’artificielle restant encore plus limitée que la reconnaissance de la parole.
Mais une fois ces jalons posés, force est de constater que si l’humain est plus efficace que l’ordinateur, c’est aussi une denrée rare et chère. Les entreprises continuent de considérer les centres de contacts comme des centres de coût et non de véritable relation client, aussi ils limitent le nombre des opérateurs. Au détriment de leurs clients.
MYTHE N° 3 :
INTERNET REMPLACE LES SERVICES VOCAUX
Les SVI auraient été un moyen de proposer du renseignement et self service avec le téléphone, Internet supplée donc à tous ces besoins. Ce point de vue se tient à un détail près, l’émergence de l’autre phénoménale révolution de ces dernières années, le Mobile.
Les usages ont profondément évolué, le mobile est nettement plus présent que l’accès internet et la convergence ne fera qu’accélérer la prédominance du Mobile.
C’est ce qu’ont très bien compris Larry Page et Sergei Brin, les fondateurs de Google, en expliquant fin 2008 qu’il leur fallait devenir aussi les leaders de la recherche d’information sur ces appareils et que l’interaction la plus naturelle était … la voix !
Ils ont alors créé un département entier pour développer leurs moteurs vocaux, lancé un service gratuit d’annuaire pages jaunes (1-800-GOOG-411) afin d’appréhender les comportements et d’affiner leurs modèles. Ce service a tellement bien fonctionné qu’ils proposent maintenant leurs premières applications vocales pour smartphones avec une qualité étonnante. Maintenant qu’il a rempli sa mission, le service 411 a été fermé …
MYTHE N° 4 :
LA RECONNAISSANCE VOCALE EST MORTE
Certaines technologies prennent moins de temps pour devenir matures. Aussi, certains analystes, constatant que les taux d’erreur réduisent lentement, que la parole n’a pas encore envahi tous nos appareils, en déduisent la mort de cette technologie.
Et il est vrai que la plupart des recherches en intelligence artificielle ont pris beaucoup de temps. Plus que prévu, pensé, rêvé … Car l’intelligence humaine est beaucoup plus complexe que ne le supposaient certains chercheurs. Ce n’est pas une raison pour jeter aux orties les systèmes experts, réseaux neuronaux et autres avancées.
Enfin, on verra rapidement que des usages simples de la reconnaissance de la parole dans des mobiles arrivent et rendent de véritables services. Il suffit de voir le succès de ces applications sur l’AppStore de l’iPhone ou sur Android.
En informatique et plus spécifiquement le domaine des serveurs vocaux interactifs (SVI), on parle de langage naturel pour désigner un dialogue homme-machine similaire à celui entre deux personnes. L’appelant est invité à s’exprimer librement et l’application vocale est alors capable de reconnaître des phrases complètes. Le script intégrant le langage naturel doit obéir à une syntaxe particulière pour être intégré dans un SVI. Des protocoles standards comme le VXML permettent de normaliser son implémentation.
Grand évènement de l'atelier sécurité de Furum ATENA le 7 juin 2012 après-midi
Les associations forumatena.org, eurolinc.eu et le medef-idf.fr vous invitent à un colloque sur le sujet : "Les nouveaux nommages dans l'Internet de demain" le jeudi 7 juin après midi, accueil à partir de 14h00, début de l'évènement à 14h30, dans l'amphi de 230 places du Medef Ile-de-France, 10 rue du Débarcadère 75017 Paris, tout près de la porte Maillot.
" .org, .eu, .fr", ces terminaisons familières de nos noms de domaines sur l'Internet, sont ce qu'on appelle des gTLD (Generic Top Level Domain). En 2012, l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) a autorisé la création d’extensions génériques. Il pourra donc y avoir d'autres gTLD. Pour faire plaisir à nos amis Bretons, prenons l'exemple du gTLD "breizh ". S'il était un nouveau gTLD, nous pourrions surfer sur les domaines "telecom. breizh", "naval. breizh", "nolwenn. breizh", "bagad. breizh"…
Une avancée vers l'Internet des cultures ? Possible, mais il faudrait d'abord qu'une entreprise achète le gTLD ". breizh" à l'ICANN. Les demandes sont aujourd'hui closes et seules des entreprises et des collectivités ont pu postuler pour s'offrir un gTLD, en payant à l'ICANN 185 000 dollars. Et pour chaque demande, qu’elle soit acceptée ou pas, il a fallut payer la somme de 5 000 dollars. Début mai, l'ICANN publiera la liste des heureux bénéficiaires et il y aura beaucoup de mécontents restés sur le carreau. Il pourrait bien même y avoir une révolution, car après tout, les noms de domaines ne sont pas vraiment indispensables dans l'Internet, et chaque pays, chaque région pourrait être tentée de créer son propre Internet autonome (comme c'est déjà le cas pour la Chine).
Ce processus va contribuer à fracturer le web entre les plus puissants et ceux qui ne pourront pas s'offrir le luxe de détenir leur propre TLD. "Nouveaux riches, nouveaux pauvres, des mots, des maux", titre proposé par Louis Pouzin pour notre évènement.
Ce grand évènement, pour lequel la participation est gratuite, sera le quatrième opus de nos évènements qui explorent ce que pourrait être l'Internet dans un futur proche, et il prend place dans une ambiance survoltée, surtout après le 1er mai, date où seront révélés les nouveaux gTLD .
Deux tables rondes constitueront les interventions principales de cet évènement qui devrait rassembler plus de 200 participants.
La première table ronde (1h30) concernera les enjeux à court terme de l'introduction des «nouvelles extensions» par l'ICANN
- Président: Gérard Peliks, Forum ATENA
- Modérateur: Cédric Manara, EDHEC
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Intervenants:
- Chantal Lebrument, EUROLINC
- X, Club des noms de domaine
- Charles Tiné, Mailclub
- Benjamin Bayart, FDN
- Michel Gien, nouvel entrepreneur
La seconde table ronde (1h30) explorera les évolutions inévitables du rôle des noms de domaine dans un monde de 8 milliards de personnes utilisant une centaine de langues. Quels usages ? Comment les organiser ? Rôle des États et du secteur marchand ? Noms libres ? Noms oraux ? Authentification ? Juridiction ?
- Président: Francis Behr, MEDEF
- Modérateur: Jean-Michel Billaut, expert
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Intervenants:
- Louis Pouzin, EUROLINC
- Pierre Georget, GS1
- Valentin Lacambre, expert
- Jean-Marc Manach, OWNI
- Xavier Dalloz, Xavier Dalloz Consulting
Avec bien sûr aussi les messages d'accueil des associations, la pause réseautage, la loterie et le coin des sponsors.
Pour demander votre inscription, entrez simplement les renseignements demandés sur http://www.forumatena.org/?q=node/356
Nous proposons également à trois organisations au plus, de sponsoriser cet évènement. Pour une participation financière qui nous permettra de fournir un pot, dont le montant est négligeable par rapport au prix des nouveau gTLD, en associant le nom de votre société, ou organisation, à notre grand évènement, vous bénéficierez d'un retour sur investissement assez exceptionnel. Si vous êtes intéressés, demandez-moi de vous envoyer le dossier de sponsorat.
Et comme à tout nos évènements, ce sera festif, gratuit et il y aura des surprises !
Gérard Peliks, Président de l'atelier sécurité de Forum ATENA
Partage d'infrastructures mobiles (suite)
Dans un précédent article, nous avons évoqué l'intérêt du partage d'infrastructures mobiles. Si cet intérêt est en premier lieu financier, avec des réductions importantes des investissements (CAPEX) et des coûts d'exploitation (OPEX), le partage amène d'autres avantages : la prise en compte plus simple des contraintes environnementales, par la réduction du nombre d'antennes à déployer, la possibilité de déploiement plus rapide des réseaux, la possibilité de mieux couvrir les zones rurales.
En contrepartie, le modèle du RAN sharing, c'est-à-dire le partage d'infrastructures actives au niveau du réseau radio, présente quelques inconvénients : il est assez complexe à mettre en œuvre, à la fois sur la plan technique et sur le plan juridique et commercial, et il permet moins aux opérateurs de se différentier en termes de couverture radio et de débits offerts.
Le roaming national est, lui, plus simple à mettre en œuvre, mais il est réservé aux "full MVNOs" (Virgin Mobile, NRJ mobile, Lycamobile) ou, dans certains cas, aux nouveaux opérateurs (Free mobile), en plus de la couverture des zones blanches.
Par ailleurs, il faut signaler que le partage d'infrastructures se développe aussi "en interne" : les solutions actuelles permettent aux opérateurs de mutualiser, au sein de leur propre réseau, des équipements radio couvrant à la fois la 2G, la 3G et bientôt la 4G. De même, les raccordements des stations de base (souvent appelés "backhauls") sont de plus en plus mutualisés, que ce soit entre 2G et 3G ou entre réseaux mobiles et fixes.
Quelle que soit le mode de réalisation choisi, nous pensons que le partage d'infrastructures mobiles est amené à se développer de plus en plus. En effet, alors que les opérateurs mobiles doivent renforcer leur couverture radio pour répondre à la demande croissante de l'Internet mobile, les contraintes sur le déploiement de nouvelles antennes et les objectifs de réduction des coûts militent fortement en faveur du RAN sharing.
Ainsi, selon certaines informations non confirmées, SFR et Bouygues telecom seraient en discussion pour un partage d'infrastructure en zones rurales, dans le but de réduire les frais d'exploitation d'environ 10 %. Orange, de son côté, bénéficie déjà de l'accord de roaming signé par Free mobile.
Alain Hafner, Telix consulting
ARCSI 2012 à Metz, un grand évènement particulièrement réussi
Gérard Peliks, Membre de l'ARCSI, Président du l'atelier sécurité de Forum ATENA
Les projets de l'atelier INNOVATION 2012
Bien que le mécanisme de l’innovation se fonde sur une « économie » particulière et que son « apparence » soit essentiellement économique, l’innovation est fondamentalement un processus social qui implique dans son éclosion comme dans sa diffusion, une capacité de la société à l’accueillir, à l’enrichir et à la développer.
On peut distinguer trois phases dans ce processus : la création de l’innovation, le lancement puis la large diffusion. La capacité d’une société à se saisir d’une innovation et à lui donner l’envergure adaptée, à la faire accepter par ses membres puis à la diffuser largement au-delà est aujourd’hui au cœur des interrogations des dirigeants et des économistes. Cela prend des noms très variés selon l’approche, depuis le transfert de technologie (les TTO américains), les clusters (largement soutenus par l’OCDE dans les années 90), jusqu’aux écosystèmes de l’innovateur ou de l’innovation, voire les « rainforest ».
C’est cette dernière approche qui va orienter nos réflexions, les concepts de « rainforest » ou d’écosystème. Quelles en sont les composantes ? Comment fonctionnent-ils ? Quelles conclusions opérationnelles peut-on tirer de ces nouveaux concepts
Patrice Noailles – nouveau président de l'atelier INNOVATION de Forum ATENA
Conclave de réflexion sur le monde du numérique et le monde des contenus culturels
Deux membres de Forum ATENA ont été invités à participer au conclave de réflexion sur le monde du numérique et le monde des contenus culturels, organisé par ALTAIR think tank Culture Médias et Le Cercle Républicain.
Ce n'est qu'une étape de réflexion, elle montre la voie quant à la méthode, elle est encore assez décevante quant aux résultats, mais nous ne pouvons qu'encourager ce type d'initiative et nous y associer. Pour plus d'information sur la Synthèse Concertation Culture & Numérique voir http://www.altair-thinktank.com/
Pour particper avec nous à ces refexions, merci de me contacter
Philippe Recouppé – Président de Forum ATENA
Présidentielle : Jeudi 26 avril, les candidats présentent leur programme numérique devant le Collectif du Numérique
Les 21 associations, syndicats professionnels et pôles de compétitivité de l’industrie du numérique et de ses usages du Collectif du Numérique dont Forum ATENA reçoivent les représentants des candidats à l’élection présidentielle, Fleur Pellerin (François Hollande) et Nicolas Princen (Nicolas Sarkozy) qui leur présenteront leur programme numérique pour la nouvelle mandature, jeudi 26 avril, de 9H30 à 13H (accueil 9H) à l’espace Amusement de la Gaîté Lyrique, 3 rue Papin 75003 Paris. (lire le communiqué de presse)
Ils expliciteront les engagements et propositions de leur candidat sur les enjeux de la transformation numérique de l’économie et de la société, leur vision stratégique de la compétitivité du numérique pour la création d'emplois, les aspects réglementaires et fiscaux, l'accompagnement de l’innovation, l’effort de formation au numérique, et la modernisation par le numérique de l’Etat.
Cette manifestation est réalisée en partenariat avec Dailymotion qui retransmettra la captation vidéo de l’évènement, et FrenchWeb.fr
Retransmission en direct sur : http://frenchweb.fr/ – http://www.dailymotion.com/collectifdunumerique
Le 19 mars, le Collectif du Numérique avait interrogé les candidats sur leur programme numérique. Les réponses sont en ligne sur : http://www.collectifdunumerique.fr/
Philippe Recouppé – Président de Forum ATENA.
Louis Pouzin entre au "Hall of Fames" de l'Internet
Louis Pouzin, au cours 'une cérémonie à Genève est entré au "Hall of Fames" de l'Internet. Seuls les plus grands pionniers internationaux qui ont fait avancer les choses dans le cyberespace peuvent prétendre en faire partie. C'est dire l'honneur de l'avoir à notre grand évènement du jeudi 7 juin. Louis est le directeur scientifique de notre évènement sur les nouveaux nommages dans l'Internet de demain.
WHAT IS THE INTERNET HALL OF FAME?
"The Internet Hall of Fame is an annual awards program that has been established by the Internet Society to publicly recognize a distinguished and select group of visionaries, leaders and luminaries who have made significant contributions to the development and advancement of the global Internet. Inaugural inductees were announced on April 23, 2012 at the Internet Society’s Global INET conference in Geneva, Switzerland".
Voir en http://www.internethalloffame.org/inductees/louis-pouzin
Alors si vous voulez l'écouter, lui et ses pairs, au cours de deux tables rondes, l'une sur ce que propose l'ICANN, l'autre, prospective, sur ce que pourrait devenir l'Internet, suite aux nouveaux domaines de premiers niveaux mis sur le marché par l'ICANN et ce qui va s'ensuivre (évolution, révolution ?), l'évènement Forum ATENA / Eurolinc / Medef IdF vous éclairera le jeudi 7 juin après-midi, au siège du MEDEF Ile-de-France, 10 rue du Débarcadère 75017 Paris, amphi de 230 places, participation gratuite.
UBIFRANCE : direction Londres et Singapour
Deux missions organisées par UBIFRANCE :
1. Singapour / Brunei
Notre mission commence à Singapour, les 21 et 22 mai 2012, pour rencontrer les acheteurs et départements technologie & opérations des principaux établissements bancaires et financiers installés dans la cité-Etat. En tant que 3ème place financière en Asie, comptabilisant plus de 700 établissements bancaires et financiers, Singapour, l’un des 4 « dragons » d’Asie aspire à devenir un centre régional d’innovation dans le domaine des TIC pour les services financiers.
Puis vous vous envolez vers Hanoi le 22 mai, pour exposer du 23 au 25 mai 2012 sur l’Espace France installé pour la 15ème édition de BANKING VIETNAM. Organisé avec le soutien de la State Bank of Vietnam, cette conférence-exposition est la référence dans le domaine. Avec une rythme effréné de bancarisation depuis 5 ans (29,5 millions de cartes bancaires en service, essentiellement de débit, et 15,6 millions de comptes bancaires fin 2010 contre 700.000 fin 2005), le Vietnam et ses 90 millions d’habitants constitue un marché en devenir sur lequel il faut se positionner dès à présent.
Soutenue par le pôle de compétitivité Finance Innovation (conditions préférentielles pour les membres du pôle), cette mission vous permettra de nouer ou renforcer, dans des conditions privilégiées, des relations d’affaires avec les acteurs clés de ces deux marchés.
Thibaut HUMBERT, Chargé de Développement Pôle Nouvelles Technologies, Innovation & Services
Bureau UBIFRANCE Singapour – Bruneï (Ambassade de France à Singapour) – thibaut.humbert ( a ) ubifrance.fr
2. Londres
Le bureau londonien d'Ubifrance, l'Agence pour le développement international des entreprises françaises, organise, à l'occasion de la 4ème édition du salon Cloud Computing World Forum www.cloudwf.com des rencontres d'affaires du 11 au 13 juin 2012. L'événement s'adresse à une audience internationale, avec plus de 120 exposants et 4000 décideurs du secteur des TIC.
Si vous travaillez dans les technologies du cloud, et plus particulièrement dans : – les applications – le stockage de données – la CRM – le mobile – les plateformes – la virtualisation – la sécurité – les médias sociaux – les communications
Nous vous invitons à découvrir le 1er marché de la dématérialisation en Europe, avec des rencontres d'affaires avec des entreprises du secteur du cloud computing, une visite du cluster technologique Tech City à Londres et une présentation par un expert du secteur du marché britannique du Cloud Computing.
En 2011, les utilisateurs britanniques ont dépensé 14 Mds EUR, soit >> 16% du marché des TIC, dans les technologies du cloud. Le cloud est le segment ayant la croissance la plus rapide du marché des logiciels et services informatiques au Royaume-Uni.
Teresa Marshall, Chargée de Développement Secteur Nouvelles Technologies, Innovation et Services
Mission Economique UBIFRANCE au Royaume-Uni – Bureau de Londres – teresa.marshall ( a ) ubifrance.fr
Formation diplômante ISEP "Expert Cloud Computing et SaaS"
L'ISEP (Institut Supérieur d'Electronique de Paris) vient d'obtenir, de la part de la CGE (Conférence des Grandes Ecoles) le label de "Mastère Spécialisé" pour sa formation diplômante "Expert Cloud Computing et SaaS", accessible aux BAC+5 et BAC+4 avec expérience.
Outre le fait de sanctionner la formation par un diplôme de haut niveau, cette décision permet de faire bénéficier de ce cursus – dans le cadre d'un régime dérogatoire très précis – des candidats de niveau BAC+2 avec expérience, et de leur éviter ainsi une fastidieuse VAE.
Un site Web est dédié à la présentation de ce nouveau Mastère Spécialisé.
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Jeudi 7 juins Grand amphi du Medef Ile-de-France, près de la porte Maillot, au 10 rue du débarcadère 75017 PARIS INTERNET DU FUTUR : Les nouveaux nommages de l'Internet de demain Inscrivez-vous |
Du 26 au 29 avril
Egypte
Mission Ubifrance – salon Cairo ICT
