Newsletter n°48 – mars 2012
Quelles perspectives, quels objectifs donner à notre société, dans un monde qui bouge, qui s’ouvre, dont les échanges se multiplient ?
Quels atouts a notre pays, quelles envies, quels soifs partagent nos concitoyens, quels exemples nous montrent les développements, à notre portée. Vous l’avez compris, c’est d’un monde d’opportunité, de possible dont je veux vous parler,
Un monde ou nous construirions la confiance, pour l’initiative, l’innovation, ou l’économie du numérique pourrait exprimer à plein son potentiel de croissance, de création de richesse …
Pour contribuer positivement (et modestement), Forum ATENA c’est associé dès l’origine à la constitution d’un Collectif du numérique qui réuni 20 associations qui veulent porter une "vision du Numérique". Enfin, avant de vous laisser découvrir cette nouvelle newsletter, il reste encore quelques places ce vendredi 30 mars à la conférence Media4D sur l’état de l’art de l’accessibilité, et plus globalement de l’enrichissement des contenus audiovisuels par les technologies numériques, tout un programme !
Philippe Recouppé, Président du Forum ATENA
C’esy le nombre d’Iphone vendus par jour… un chiffre supérieur au nombre de bébés qui naissent chaque jour ! Lien vers l’article
Innovation, compétitivité, croissance, emplois : le numérique doit être un enjeu du débat de l’élection présidentielle
Forum ATENA a rejoint l’iniiative des associations IT en co-signant le communiqué : "Innovation, compétitivité, croissance, emplois : le numérique doit être un enjeu du débat de l’élection présidentielle". Le texte intégral ci-dessous :
"Depuis son lancement, la campagne électorale pour l’élection présidentielle ne couvre pas l’un des sujets majeurs pour l’avenir de notre pays : le numérique et la création de richesse qu’il peut apporter.
La ré-industrialisation de la France et la modernisation de son économie, la spécialisation industrielle, l’émergence de nouvelles entreprises leaders mondiales, la création d’emplois, l’amélioration de la vie des citoyens, les filières de formation, le développement des usages dans tous les domaines passent par le développement du numérique, adossé à des infrastructures de réseaux de qualité qui favorisent l’attractivité de nos territoires.
Un ensemble d’associations et de syndicats professionnels du secteur s’est regroupé dans un collectif pour interpeller les candidates et les candidats sur la « vision Numérique » de la future Présidente ou du futur Président de la République dans les domaines suivants :
- la compréhension de l’enjeu de la transformation numérique de l’économie et de la société,
- la vision stratégique de la compétitivité du numérique pour la création d’emplois,
- les aspects réglementaires et fiscaux,
- l’engagement pour l’accompagnement de l’innovation numérique,
- l’effort de formation au numérique,
- la modernisation numérique de l’Etat et l’exemplarité des services publics.
Le collectif se tient à leur disposition pour partager avec eux le fruit des réflexions de ses membres, afin de faire émerger des solutions concrètes, pour relever les défis de l’emploi, de la croissance, de la réduction des déficits publics et afin de favoriser les usages numériques, au coeur de la vie des 60 millions de Français."
Les associations et syndicats participants : ACSEL – AFDEL – APECA – CRIP – EUROCLOUD – FEVAD – FFTélécoms – Forum ATENA – Renaissance Numérique – SFIB – SNJV – SYNTEC Numérique – Systematic
La rencontre des contenus vidéos et de l’innovation technologique : de l’innovation sociale aux opportunités de marché
Media4D 2012, conférence de l’innovation sociale
Media4D est une conférence d’innovation sociale sur l’accessibilité et l’audiovisuel qui réunit des acteurs de la chaîne de valeur. Elle aura lieu le 30 mars 2012 au Musée de La Poste à Paris (Montparnasse). Media4D a pour but de se faire rencontrer les acteurs de l’industrie du film et de l’audiovisuel, les chaines de télévision, instituts de recherche, associations professionnelles et d¹utilisateurs, les équipementiers, financeurs, législateurs/régulateurs et des représentants de la Commission Européenne. Cet événement sera aussi une plate-forme permettant à des entreprises régionales et nationales, dont notamment aux PME et TPE de nouer des contacts avec des acteurs européens.
Media4D sera l’endroit, où l’on accède à des exemples concrets, discute l’état de l’art de l’accessibilité dans le domaine de l¹audiovisuel : seront passés en revue la R&D, la production de contenus, les besoins des utilisateurs. Les moyens de financement et les modèles économiques auront une place de choix dans les discussions. Le but est aussi de sensibiliser notamment les créatifs (producteurs, réalisateurs, scénaristes, etc.) à intégrer l’accessibilité dès l’amont dans le processus de production de contenu.
Services de communications unifiées, tableau blanc virtuel, audio et web conférences : tour d’horizon des nouveaux espaces de collaboration
Le 14 mars dernier, Forum Atena participait à une table ronde ayant pour sujet Services de communications unifiées, tableau blanc virtuel, audio et web conférences : tour d’horizon des nouveaux espaces de collaboration sur le salon Solutions Intranet & RSE 2012.
Intervenaient Jean-Denis Garo administrateur du Forum Atena avec Etienne Lacour, Responsable Marketing Communications Unifiées, MICROSOFT et Yannick Gérard, Néovox.
La table ronde s’est rapidement orientée vers l’usage de la vidéo au sein des communications unifiées, et en particulier sur l’évolution de l’usage. Il est ainsi intéressant de se pencher sur une étude récente menée par le Journal des Télécoms, le Club Décision DSI et Aastra sur les usages de la Vidéo HD sur le poste de travail. L’étude recueillant l’avis de 217 DSI français.
La vidéo est rentrée dans les habitudes, c’est un fait : seules 14% des personnes interrogées ne voient pas d’intérêt particulier à développer son usage sur le poste de travail. On peut voir dans ce chiffre un des nombreux impacts de la consumérisation de l’IT abordée dans la question
précédente. On peut également y voir un regain d’intérêt pour des solutions à dimension humaine, dans lesquelles la vidéo instille une plus
grande proximité relationnelle. Il est tout particulièrement intéressant de noter que près de 47% des répondants jugent nécessaire de trouver un juste milieu entre des offres
individuelles grand public peu chères mais de piètre qualité et des offres collectives professionnelles de type salle de téléprésence, performantes
mais onéreuses.
Ce constat vient renforcer d’autres études récentes (Consultake) dans lesquelles la qualité de l’image et du son des solutions actuelles est clairement pointée du doigt comme étant un frein à une adoption plus large de ce type de solution. Plébiscitant les outils de vidéo personnelle intuitifs, le collaborateur en entreprise attend cependant qu’ils répondent aux exigences de qualité et d’efficacité de son environnement professionnel.
Les constructeurs et éditeurs logiciels ont donc un nouveau segment d’offres à développer, dans lequel la vidéo et les contenus multimédias s’intègrent nativement dans les solutions de communication d’entreprise. Le tout, bien entendu, avec une simplicité d’utilisation capable d’apporter à la vidéo cette dimension naturelle et instinctive qui est la sienne.
Una autre sujet a été abordé lors de cette table ronde : celui de l’interopérabilité des solutions. Un sujet traité récemment par Jean-François Perrillat Senior Manager Atos sur TechTocTv :
http://techtoc.tv/event/2053/cloud–entreprise-collaborative/virtualisation–cloud-computing/question-d-interoperabilite–en-43
Et pour compléter cette article, nous vous invitons à redécouvrir l’ouvrage de Crestel « De la ToIP aux Communications Unifiées » à télécharger gratuitement via : http://www.afutt.org/CRESTEL/publications/commande_ToIP2.html
Ainsi que les chapitres de Mythes et Technologies du Forum Atena portants sur ces mêmes sujets.
Jean-Denis Garo, Aastra
Partage d’infrastructures mobiles : une opportunité pour le déploiement des réseaux 4G ?
En France, l’idée du partage d’infrastructure est bien admise pour les réseaux fixes, dans le cadre du déploiement des réseaux à très haut débit basés sur la fibre optique. En effet, le niveau très élevé des investissements (de l’ordre de 20 à 25 milliards d’euros) a amené dès le départ les différents acteurs à envisager le partage d’infrastructures passives. Aujourd’hui, la réglementation impose la mutualisation des réseaux de desserte en fibre optique et le partage des fourreaux. Par ailleurs, les opérateurs ont signé entre eux plusieurs accords de déploiement partagé de réseaux à fibre optique.
En ce qui concerne les réseaux mobiles, si le partage d’infrastructures passives est autorisé et même encouragé, du fait des contraintes de protection de l’environnement, notamment, il n’en est pas de même pour le partage des infrastructures actives. En effet, le cadre réglementaire français est basé sur un principe de concurrence par les infrastructures et il prévoit des obligations de couverture du territoire. Ceci exclut donc des accords de partage géographique de couverture avec itinérance nationale, sauf pour la couverture des zones blanches. Cette exception autorisant l’itinérance nationale a aussi été étendue aux licences du 4ème opérateur, Free Mobile, et des Full MVNOs (Virgin Mobile, NRJ Mobile et Lycamobile).
En revanche, rien n’interdit aux opérateurs mobiles de partager des contrôleurs de station de base (RNC) et des antennes, à condition que chaque opérateur utilise ses propres fréquences et maintienne un contrôle logique séparé de son réseau radio. Il s’agit alors du "RAN sharing", pour lequel des solutions techniques opérationnelles existent maintenant chez tous les constructeurs.
Le RAN sharing permettrait, selon plusieurs études, des économies environ 2 fois supérieures à celles du partage d’infrastructures passives, allant jusqu’à une réduction de 20 à 40 % sur les coûts de réseau.
Ceci explique que la solution du RAN sharing se soit développée durant les dernières années, notamment au Royaume Uni, en Suède, Espagne, Australie, où des opérateurs ont signé des accords globaux de partage d’infrastructure active, voir même créé des filiales communes chargées de développer et exploiter la couverture radio 3G ou 4G.
Rien de tel n’existe en France, où les opérateurs semblent se limiter au partage de sites et d’infrastructures passives, du moins jusqu’à présent. Aujourd’hui, pour les réseaux 3G, maintenant bien déployés (SFR et Orange atteignent une couverture de 98% de la population), le RAN sharing ne présente sans doute plus grand intérêt. En revanche, il pourrait présenter un fort intérêt pour le déploiement des réseaux 4G qui commence.
En cette période où l’arrivée de Free Mobile va fortement réduire les marges des opérateurs mobiles, peut-on négliger une réduction importante des coûts de réseau, qui représentent environ 30% des coûts totaux d’un opérateur mobile ?
Alain Hafner – Telix consulting
Mission économique en Egypte avec Ubifrance
Cairo ICT, une référence égyptienne dans le domaine des TIC !
Le secteur tant public que privé est porteur d’affaires :
- acteur majeur, l’état égyptien est soit un acheteur direct comme dans le domaine du logiciel et des services informatiques, soit indirectement via ses programmes de soutien à l’achat de matériel informatique. Le domaine de l’e-gouvernement et des solutions liées au domaine des transports, de l’énergie sont donc à étudier.
- au niveau du secteur privé, les solutions destinées au secteur bancaire, de la géolocalisation, du software basique pour les entreprises, de la sécurité informatique et dans le domaine de la formation se développent.
Si la révolution de janvier 2011 et ses suites ont ralenti l’activité du secteur, celui-ci reste néanmoins l’un de ceux en ayant le moins souffert, du fait de l’utilisation toujours croissante des télécommunications. Il reste par ailleurs un de ceux offrant le plus de perspectives de développement à moyen terme. L’organisation du salon après les élections présidentielles de début 2012 est enfin stratégique puisque l’on peut s’attendre à une importante reprise de l’activité à cette période.
En parallèle du salon MET – Media and Entertainment Trends, Cairo ICT est devenu incontournable en Egypte dans le domaine des TIC.
Cairo ICT en quelques chiffres : + 200 exposants en 2010, 80000 visiteurs attendus pour cette 16ème édition.
Tous les opérateurs télécoms égyptiens, les décideurs gouvernementaux du secteur et les principales entreprises multinationales de hardware et de software (Microsoft, IBM, Apple, Xerox…) y seront représentés.
Sa portée est également régionale puisque de nombreuses compagnies du Moyen-Orient viennent y exposer ou le visiter.
Pour optimiser votre présence sur le salon Cairo ICT (26 au 29 avril 2012 – Egypte, Le Caire ) et du fait de la taille et du large panel représenté sur ce salon, un programme de rendez-vous sur mesure est organisé afin d’avoir l’assurance de rencontrer ses interlocuteurs-cible.
Du 3 au 5 avril, salon B-Ecommerce 2012
En cette année 2012 de toutes les frayeurs pour l’économie, les premiers indicateurs restent bons pour le Ecommerce. Toutefois, notre secteur d’activité reste adossé à la consommation, tout comme les autres. Cette santé insolente doit donc être mise sous étroite surveillance et les budgets, dépenses et recettes surveillés avec plus d’attention que jamais.
Dans ce paysage où le village Gaulois du Ecommerce résiste encore et toujours à l’envahisseur qu’est la crise, nous avons tous besoin de sécuriser les sources de revenus, d’en améliorer la rentabilité et d’être prêts pour les tournants technologiques à venir.
Ce nouvel opus de B-ecommerce vise précisément à mettre les Ecommerçants en contact avec les experts du milieu, au travers de conférences et de contacts sur leurs espaces d’exposition, afin de vous aider à mieux piloter votre entreprise à travers cette année 2012 qui sera clef pour tous !
B-Ecommerce accueillera 100 exposants et partenaires et proposera un contenu riche composé d’une keynote d’ouverture, de 12 conférences plénières et de 20 ateliers experts. En savoir plus.
Premier MBA Spécialisé Expert Cloud Computing et SaaS
Le Cloud Computing ne fait pas que modifier la façon de consommer l’informatique, il change aussi les métiers au sein des directions informatiques.
« La question n’est pas de savoir s’il faut aller sur le nuage, mais comment y aller de façon professionnelle et maîtrisée ».
Le Cloud Computing ne fait pas que modifier la façon de consommer l’informatique, il change aussi les métiers au sein des directions informatiques. Quelle que soit la façon de considérer le phénomène, de nouvelles problématiques voient le jour, comme la maîtrise des cycles de vie d’une instance, l’impact de la qualité du code sur le niveau de facturation, les règles de gouvernance ou la logique de tarification. D’autres questions doivent être revisitées, comme la souveraineté, la sécurité, la confidentialité, la traçabilité, la conformité aux lois concernant la protection des données personnelles et la réversibilité/transférabilité des contrats.
Comme l’externalisation, le Cloud Computing a sa règle d’or : « garder le cerveau et sous-traiter les jambes ». De plus, afin d’anticiper l’éventuel reclassement des personnels informaticiens qui ne répondent plus à ces nouvelles exigences, les directions des ressources humaines doivent étudier les démarches d’accompagnement indispensables.
Constat n°1 : Les ingénieurs télécoms et réseaux maîtrisent à la perfection les nouvelles technologies IP… mais ne disposent pas des autres facettes pourtant indispensables à leur évolution de carrière, comme la gestion financière des projets, la prise en compte de la qualité et de la satisfaction des clients, la conduite du changement, l’intégration des contraintes légales et règlementaires, le pilotage des équipes, l’intermédiation et la gestion des connaissances, la culture des partenariats efficaces, la coopération avec les services marketing ou la maîtrise des coûts de production et d’évolution. Les DSI, qui cherchent à valoriser la qualité de réalisation de leurs équipes, sont demandeurs de cette « ouverture ».
Constat n°2 : Convergence IP, mode SaaS, Cloud Computing, Nomadisme ne font pas que bouleverser les modèles, usages et organisations. Les entreprises externalisent de plus en plus, mais ne disposent pas forcément des compétences qui leur permettent de concevoir l’expression de besoins idéale et de réaliser une maîtrise d’oeuvre de haute tenue. Elles doivent en conséquence se faire épauler sur la maîtrise d’ouvrage et sont souvent peu pertinentes vis-à-vis de leurs partenaires, au grand dam de ceux-ci.
Constat n°3 : La crise ne laisse plus aucune place à l’erreur : dépassements de budgets, incapacité à maîtriser des projets complexes, manque de formalisation, risques insuffisamment pris en compte…les entreprises ne peuvent plus s’offrir le luxe de ces dérapages et attendent de leurs Chefs de projets une professionnalisation accrue. Pourtant la grande majorité des Chefs de projets actuels n’ont jamais bénéficié de formation et se sont faits eux-mêmes. La professionnalisation se généralise, également sur ce plan.
Ce sont sur ces constats que l’ISEP (Institut Supérieur d’Electronique de Paris) a conçu la première formation diplômante pour former les spécialistes de l’infonuagique, le « MBA Spécialisé Expert Cloud Computing et SaaS », formation qui a pour objectif de former des ingénieurs immédiatement opérationnels sur les métiers liés à l’infonuagique, domaine assez complexe et dans lequel on constate une pénurie d’intervenants spécialisés.
Denis BEAUTIER – Directeur des Formations Continues de l’ISEP.
La reproduction des biens culturels dans une nouvelle phase de son évolution
Que te temps entre l’invention de l’imprimerie par Gutenberg (1) en 1455, et Colbert qui réglemente le métier d’imprimeur, son activité, et les conditions de la mise en place du copyright (2) . C’est plus d’un siècle de liberté d’entreprendre et d’éditer, entaché d’épisodes fâcheux (ma pensée va a Étienne Dolé), mais qui ne remettent pas en cause à la fois le formidable développement de cette activité et le brassage d’idée qu’il a permis, de la Renaissance a la Réforme.
Dans une Europe qui se referme, les Hollandais, alors pays de la liberté d’entreprendre, sauront en profiter pour développer l’édition par une politique de prix bas et la contrefaçon d’oeuvre anglaise et française (Le Cid par exemple).
En France également la contrefaçon se développera (et la publication d’ouvrage interdit), en province particulièrement, ou les éditeurs devaient lutter contre les avantages qui avaient été donnés aux seuls Parisiens.
Pour être un peu plus complet, le développement intellectuel de toute cette période n’aurait pas été possible sans le développement des bibliothèques de prêt dans toute l’Europe, permettant aux idées de s’échanger dans large partie de la population. Des sociétés de lecture, à but non lucratif, concoururent aux développements des idées, accompagnées par de multiples autres formes d’accès aux livres, comme les loueurs de livres et les cabinets de lecture.
Plus de trois siècles de tâtonnement, de censure, mais aussi de liberté et de contrefaçon aboutiront en France, 80 ans après l’Angleterre et son copyright, au décret sur le droit d’auteur de 1793, non sans avoir préalablement réaffirmé dans l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen : " la libre communication des pensées et des opinions est un droit, … tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement… "
Saurons-nous, avec le formidable outil que constitue aujourd’hui le numérique et l’Internet, en laisser se développer tous les potentiels, voir les accompagner.
La liberté d’expression, la créativité doit trouver les formes d’une juste rémunération des auteurs, qui ne peut être une rente.
Sans justifier la contrefaçon, notre époque devrait se souvenir que, de la Renaissance à la Révolution, les Lumières coïncident avec la période qui précéda le contrôle et la rémunération des auteurs puis des éditeurs, et que ce temps de liberté a grandement participé à la production de la richesse de notre société.
Pour poursuivre le débat, Forum ATENA a ouvert une page ou vos contributions sont attendues, participez !
(1) Ce sont bien les Coréens qui ont inventé l’imprimerie, les caractères métalliques mobiles, et développé cette formidable invention, la couplant avec l’invention d’un alphabet simplifié, tout ça pour permettre l’alphabétisation du peuple.
(2) première tentative au Royaume uni en 1709.
(3) Etienne Dolé : http://fr.wikipedia.org/wiki/Étienne_Dolet
Pour compléter ces quelques mots, lire ou entendre :
http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4397209
http://www.pcinpact.com/news/56327-hadopi-crise-cour-compte-controle.htm
Philippe Recouppé, Président de Forum ATENA, DG de COGICOM
En informatique, un serveur est un ordinateur/machine contenant un logiciel dont le rôle est de répondre automatiquement à des demandes envoyées par des clients (logiciels ou ordinateurs) et donc d’offrir un service donné. Typiquement, la navigation sur Internet, le partage de fichiers ou le courrier électronique sont des applications qui font appel aux Serveurs.
La notion d’échanges client – serveur est devenue une composante de base dans la conception des logiciels. Les serveurs peuvent être de plusieurs types (ou offrant plusieurs services) : Serveur Web, fichiers, impressions, courriers, etc.), ces derniers sont hébergés dans des locaux spécifiques dédiés appelés « Salles Blanches Informatiques »
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Vendredi 30 mars Siège du Groupe La Poste (Paris 15e) Media 4D Social Innovation Conference (en partenariat avec Holken Consulants & Partners) Informez-vous |
Du 3 au 5 avril
Parc des Expos, Porte de Versailles (Pavillon 4)
Salon Becommerce
Jeudi 19 avril
CCI de Saint-Quentin (02)
Journée Bénéfice@Net
Dans le cadre du projet INTERREG IV A CTE GO-KMO, la CCI de l’Aisne et la LME de Mons organisent en partenariat avec une douzaine de partenaires français et belges, une manifestation dédiée au web-marketing avec au programme: conférences, ateliers thématiques, speed-démos et stands d’exposition.
Du 26 au 29 avril
Egypte
Mission Ubifrance – salon Cairo ICT
