Bonjour à tous !

Une fois encore, la souveraineté numérique est au centre de nos préoccupations.

Jean-Jacques URBAN-GALINDO dénonce le scandaleux voire criminel renforcement des juridictions extra-territoriales états-uniennes.

Philippe RECOUPPÉ pointe l’incapacité française et européenne de se doter d’outils propres à gérer les données, situation qui nous rend tributaires des géants d’outre-océan.

Geneviève BOUCHÉ nous rappelle combien l’absence de souveraineté est lourde de conséquences.

Quant à moi, je reviens sur la fausse protection apportée par l’anonymisation.

Bonne lecture !