Newsletter juin 2008 n°11 |
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L’édito
Dématérialisation : débat
Un PABX gratuit : le compte rendu
Communauté des réseaux de confiance
L’Atelier Juridique et le paquet Télécom
La ToIP est-elle également sur écoutes ?
Verrouillage d’internet ?
Evolution des technologies vocales
Salle pleine pour le travail collaboratif
VOIP au salon TEC
Projets en cours
Agenda
Partenaires
Editorial du président
La quatrième licence mobile 3G relancée ?
Après bien des tergiversations, un quatrième opérateur mobile pourrait enfin arriver sur le marché français, et redonner espoir à tous ceux qui attendent plus de concurrence sur ce marché.
La France est le seul des grands pays d’Europe avec seulement trois opérateurs 3G, le Royaume Uni en a 5. Le taux de pénétration français est le plus bas d’Europe : 88 % alors que la moyenne européenne dépasse les 100%, et plus de 140% pour l’Italie. Mais pas d’impatience ! L’ARCEP consulte, sans doute les avis ne seront pas unanimes ; puis le Gouvernement devra fixer les modalités de la redevance, après débat parlementaire.
A l’heure ou le partage des infrastructures FTTH est en discussion, nous espérons également un débat sur la non-multiplication des infrastructures d’accès mobiles. Car c’est bien un effet de pression concurrentiel qui est recherché dans l’un et l’autre cas, pour le développement de la concurrence au service des consommateurs, et pas autre chose.
Espérons que l’arrivée souhaitable de ce nouvel opérateur radio-mobile ne sera pas l’occasion d’enterrer les MVNO, déjà bien mal en point ! La concurrence ne commence pas subitement à quatre acteurs, elle se construit par la présence sur un marché d’un nombre substantiel d’acteurs ayant des positionnements et des stratégies différenciés.
Philippe Recouppé
Président de Forum ATENA
Réunion de l’atelier DEMAT
L’atelier de la Dématérialisation invite les acteurs de la dématérialisation à une réunion de travail le 26 juin 2008 de 14h à 17h à l’Echangeur PME, CCIP Bourse de Commerce, 2 rue de Viarmes, PARIS
Pour vous enregistrer ->
Le Commissaire Européen Viviane Reding a évoqué dernièrement les difficultés pour mettre en œuvre tous les niveaux de sécurité nécessaires aux infrastructures de sécurité et de confiance.
La France a sans doute avec les référentiels généraux de sécurité et d’interopérabilité, proposé les meilleures mesures de nature à protéger les personnes dans leurs attributs de confiance, dans la confidentialité de leurs échanges, et dans la conformité des règles de correspondance dont la signature et l’archivage électroniques établissent la valeur légale certaine.
Et pourtant, tant en France qu’à l’Etranger, il règne une cacophonie sur le rôle respectif des opérateurs qui entrent dans la chaine de dématérialisation des échanges et des transactions en ligne.
L’article de « la sécurité dans l’ère numérique » fait donc le point sur l’évolution des métiers d’opérateurs tels que les analyse la Commission Européenne pour développer une dématérialisation légale sécurisant les Réseaux à valeur ajoutée indispensables à l’économie durable.
Eric Blot-Lefevre
président de l’atelier de dématérialisation
La conférence du 28 mai 2008 à l’ISEP avait pour but de répondre à une question :
« les logiciels libres peuvent-ils constituer la base d’un système de téléphonie d’entreprise ? »
Philippe Sultan est Ingénieur Réseaux au Service Informatique et Réseau de l’INRIA (Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique). Il nous retrace cette conférence du 28 mai tout en y ajoutant sa perception de l’événement et son point de vue d’expert puisqu’il est aussi développeur officiel d’Asterisk.
La question méritait d’être soulevée pour plusieurs raisons. D’abord la place importante désormais occupée par les logiciels libres dans le système d’information (SI), concrétisée par le succès de nombreux logiciels tels que Linux, NetBSD, FreeBSD, Apache, FireFox, MySQL, Bind, OpenOffice.org, etc. Une autre raison, qui découle du constat précédent, est l’intégration de la téléphonie d’entreprise dans le SI, puisqu’on parle aujourd’hui de téléphonie sur IP (ToIP).
Cependant, des interrogations légitimes quant à l’utilisation du libre pour la téléphonie d’entreprise existent. On peut ainsi s’inquiéter des garanties en terme de fiabilité, de pérennité et de maintenance d’un système de téléphonie d’entreprise reposant sur des logiciels libres. Les présentations des intervenants furent très convaincantes. Elles ont essentiellement porté sur un seul des logiciels libres de ToIP (Asterisk) mais les propos tenus furent tout à fait applicables aux logiciels libres de ToIP en général. Les intervenants ont mis en évidence plusieurs points forts du logiciel libre dans la ToIP d’entreprise. Le coût, d’abord, qui reste bien moindre en regard des solutions propriétaires, tant pour l’achat que pour les contrats de maintenance (qualifié d’ « exorbitant » par l’un des intervenants).
L’intéropérabilité ensuite, impossible à réaliser entre solutions propriétaires même par des standards (SIP ou H323), est assurée en plaçant « en coupure » un logiciel libre (Asterisk) dont l’infinie flexibilité se révèle ici très précieuse. L’ouverture naturelle du logiciel libre fut par ailleurs mentionée comme un critère important pour quiconque souhaite réellement s’approprier le système de téléphonie, pour y développer par exemple de vraies applications de CTI (Couplage Téléphonie Informatique).
La maintenance du logiciel libre, les corrections de bug, les évolutions furent évoquées par tous les intervenants au fil des différentes présentations. Ils insistèrent judicieusement sur la puissance des outils de communication utilisés dans le monde libre (forums, listes de diffusion, canaux IRC), et le nombre incroyable des contributeurs. Une comparaison m’a semblée tout à fait pertinente : un ticket d’incident déposé sur un bugtracker est visible par toute personne compétente (et elles sont de plus en plus nombreuses!) disposant d’un accès Internet, alors qu’il ne sera consulté que par un nombre restreint d’ingénieurs dans le cadre du support d’un logiciel propriétaire.
En résumé, un grand merci aux intervenants, qui ont contribué à promouvoir les avantages du libre dans la téléphonie d’entreprise, et à démystifier les craintes quant à sa fiabilité.
Philippe Sultan
INRIA, développeur officiel d’Asterisk
La communauté des réseaux de confiance
Notre adhérent ARKOON Network Security en la personne de David Dupré, Marketing Manager et fondateur de la communauté des Réseaux De Confiance, organise le 25 juin de 18h00 à 20h30, au Racing Club de France, 5 rue Eblé PARIS 7eme, une conférence sur le thème de la confiance avec des interventions et une table ronde interactive entre experts, RSSI et fournisseurs. L’atelier sécurité de Forum ATENA s’associe à cet événement.
A cette occasion seront également lancés un travail collaboratif et un livre blanc rédigé par les Réseaux De Confiance. Le sujet sera présenté et débattu le 25 juin à Paris au cours de la table ronde et d’un cocktail de lancement. Nul doute que des synergies évidentes entre cette communauté et l’association Forum ATENA viendront tout naturellement pour le plus grand intérêt de tous.
Nous donnons la parole à David Dupré :
« A l’heure où les systèmes d’information ont besoin de s’ouvrir vers l’extérieur, où les utilisateurs mobiles emportent avec eux les informations sensibles qui restaient autrefois dans le périmètre de l’entreprise, la confiance est au cœur de la sécurité informatique.Pourtant il est impossible de lui donner une définition figée. En informatique, la confiance est une notion qui évolue sans cesse, un film plutôt qu’une photographie. Le RSSI conçoit sa confiance comme une chaîne faite d’hommes, de technologies et de processus permettant de mettre en conformité et de sécuriser le système d’information de son entreprise. L’objectif des Réseaux De Confiance est de dresser un état de l’art en mouvement de la confiance appliquée à la sécurité informatique ; de poser les bonnes questions en matière de confiance ; de donner du sens à cette notion cruciale en pointant ce qu’elle recouvre pour les acteurs et les utilisateurs de la sécurité informatique d’entreprise.»
Cliquez ici pour télécharger le programme et vous enregistrer
Gérard Péliks
Président de l’atelier sécurité
Nouvel atelier Forum ATENA : Aspects Juridiques
La « review » ou le nouveau Paquet Télécom devrait entrer en application courant de l´année 2009.
Pour anticiper ces changements et optimiser ainsi l’activité des entreprises dans ce nouvel environnement nous nous sommes réunis le 10Juin 2008 dans les locaux du Cabinet ITEANU AVOCATS
La réunion s’est tenue comme suit :
- Introduction par Me Olivier ITEANU, Avocat à la Cour, « Des télécommunications aux communications électroniques »
- Présentation de l’association, par Philippe Recouppé, Président
- Tour de table des participants
- Présentation de la Review par Monsieur le Professeur Philippe Achilleas, directeur de l´IDEST et du Master Droit des activités spatiales et des communications de l´Université de Paris XI électronique
- Le point de vue de l´ARCEP, par Loïc Taillanter, Directeur juridique adjoint
Malgré des perturbations dans les transports parisiens, nous nous sommes retrouvés une petite trentaine pour comprendre l’état actuel de la réglementation et les évolutions proposées par la commission.
Le débat s’est très vite ouvert entre les intervenants et les participants, au fur et à mesure des thèmes abordés, démontrant l’interêt du débat, et l’actualité des questions posées.
Séparation du droits des réseaux et des contenus, gestion du spectre, contrôle du marché et séparation fonctionnelle, création d’une autorité européenne ont été quelques uns des points abordés.
Débat ouvert, intervention argumentée de la FICOME, de neuf cegetel, de France télécom, parmi bien d’autres, ont montré tout l’enjeu des questions posées.
Tous les participants sauf un ont confirmé l’intérêt de la création de cet atelier, dans le cadre des actions menées par Forum ATENA, et leur engagement à poursuivre la réflexion.
Olivier Itéanu
Président de l’atelier Juridique
La Toip est elle également sur écoutes ?
La réponse est sans conteste oui.
La téléphonie sur IP n’a aucune raison de déroger à la téléphonie traditionnelle, dite RTC, ou mobile. Les conversations téléphoniques via la téléphonie IP peuvent faire l’objet d’écoutes de la part des autorités publiques françaises. Ces écoutes sont de deux types. Soit elles sont autorisées par l’autorité judiciaire, le juge des libertés à la requête du Procureur de la République pour le flagrant délit (1) ou le juge d’instruction (2) dans le cadre d’une instruction judiciaire en cours au titre d’une infraction punie d’une peine minimale de deux ans d’emprisonnement. Dans ces conditions, c’est le juge qui contrôlera la régularité des écoutes. Les enregistrements seront mis sous scellés et pourront être retranscris, l’ensemble étant consultable par toute personne ayant accès au dossier d’instruction, notamment la personne mise en examen.
Plus problématique, il existe une seconde catégorie d’écoutes en droit français, les interceptions dites de sécurité. Ces écoutes sont hors du contrôle de l’autorité judiciaire. Elles sont encadrées par une Loi du 10 Juillet 1991 (3). Elles sont autorisées « à titre exceptionnel » par le Premier Ministre. La Loi limite le recours à ces écoutes à quatre cas. Il s’agit de la recherche de renseignements intéressant la sécurité nationale c’est à dire l’espionnage traditionnel d’Etat à Etat, la sauvegarde des éléments essentiels du potentiel scientifique et économique de la France c’est à dire l’espionnage industriel qui s’est développé fortement ces dernières années, la prévention du terrorisme considérablement renforcée depuis les attentats du 11 septembre 2001 et, enfin, la criminalité et la délinquance organisées, en clair la Mafia.
Si le Premier Ministre ordonne des écoutes, il doit le faire par écrit et motiver sa décision en la rattachant à l’une de ces quatre catégories. L’autorisation a une durée maximale de quatre mois, mais la Loi ne prévoit pas de limites au renouvellement de l’autorisation. Les enregistrements opérés dans le cadre des écoutes ont une durée de vie limitée de dix jours après qu’ils aient été réalisés. Cela signifie en pratique que ces enregistrements doivent être retranscris dans un écrit, cet écrit pouvant être conservé quant à lui tant qu’elles sont « indispensables ».
A l’origine, la Loi ne prévoyait aucun mécanisme de contrôle de ces interceptions d’un genre spécial. Cette anomalie pour une démocratie, a été réparée par une autre Loi de Décembre 1992 qui a institué une autorité administrative indépendante dénommée la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité. Tout citoyen peut interroger en lettre recommandée AR cette commission basée à Paris, pour savoir si des écoutes de sécurité ont été opérées à son propos. La Commission réalisera alors un contrôle pour savoir si ces écoutes existent, si les conditions ci-avant décrites ont été respectées et elle informera le citoyen qu’elle a opéré ce contrôle. Pour autant, le citoyen n’aura pas l’information de savoir s’il a fait l’objet d’écoutes, et si, oui, pourquoi, quand et quel en a été le résultat. Enfin, le dispositif ne serait pas complet si la Loi n’avait pas impliqué les opérateurs de télécommunications, appelés aujourd’hui les opérateurs de communications électroniques. Parmi ces opérateurs d’aujourd’hui, ont été intégrés les fournisseurs d’accès internet. Ceux-ci sont tenus en premier lieu de donner toutes informations sur leurs abonnés aux autorités publiques. S’ils ne le font pas, ils encourent une peine de 6 mois d’emprisonnement et une amende maximale de 7.500 euros. Mais ça n’est pas tout, l’Etat impose aux FAI de mettre en place, à leurs frais, « les moyens nécessaires à l’application de la loi nº 91-646 du 10 juillet 1991 relative au secret des correspondances émises par la voie des communications électroniques par les autorités habilitées en vertu de ladite loi » (4).
Les FAI doivent donc disposer de matériels et logiciels pour réaliser ces interceptions. Même la mise en œuvre des écoutes est réalisée aux frais des FAI, tel que la Loi l’impose. Ainsi donc, on le sait peu, mais tout un dispositif légal et réglementaire est bien en place pour réaliser des écoutes via la téléphonie sur IP et les autorités ne font pas mystère que ces écoutes sont de plus en plus nombreuses. Aussi, si vous remarquez du bruit sur la ligne, ça n’est pas forcément un problème de qualité de la voix sur IP…
- Notamment avec l’Article 74-2 du code de procédure pénale
- Article 100 du code de procédure pénale
- Loi n°91-646 du 10 Juillet 1991 relative au secret des correspondances émises par la voie des télécommunications
- Article D 98-7 du code des postes et des communications électroniques
Pour approfondir :
Le forum des droits sur Internet a compilé tous les textes légaux en relation avec la question des interceptions dite de sécurité. Saisir « interception » dans le moteur de recherches.
Pour un présentation succincte de laCommission Nationale de Contrôle des Interceptions – 35, rue Saint-Dominique 75007 Paris
Olivier Itéanu
Président de l’atelier Juridique
Le gouvernement veut verrouiller les intermediaires du Net
«Selon le site PC Inpact, qui publie un texte intitulé "Confiance en ligne" émanant du ministère de l’Intérieur, le gouvernement entend renforcer le filtrage des contenus sur Internet, afin d’en faire « un environnement le plus sûr possible pour tous les citoyens ». La charte en question, encore à l’état de proposition, est en discussion avec les intermédiaires concernés : fournisseurs d’accès, opérateurs mobiles, fournisseurs de service en ligne et éditeurs.
Le document répertorie un certain nombre d’engagements que devront prendre ces sociétés pour lutter proactivement contre la délinquance en ligne. Selon PC Inpact, l’Intérieur tente d’obtenir la signature de ce document avant le 10 juin.
Ce que s’est empressé de démentir le ministère. L’Intérieur explique en effet que la réunion du 10 vise simplement à recueillir les observations des FAI sur le document, pas à obtenir leur signature.»…
A lire intégralement ICI
Salle pleine pour le travail collaboratif
La conférence sur le travail collaboratif organisée le 5 juin dans le cadre du salon TEC, dont Forum ATENA est partenaire, a été l’objet d’un échange de vue très instructif.
Animée par David Daville, cette conférence regroupait un panel d’orateurs très complémentaires :
Olivier Armitano-Grivel, en charge de la plate-forme communautaire mySlide apportait la vision d’un fournisseur de services tout comme Stéphanie Gaillard responsable du bureau en ligne de BFI-International facility.
Jacques Setton, consultant, a fait part de son expérience sur la gestion de contenus. Tandis que Jacques Heitzmann, consultant de Jaito, montrait comment la ToIP allait révolutionner ce domaine en intégrant les communications de l’écrit, du son et de l’image.
De nombreux participants apportèrent aussi leur témoignage de cette problématique dans leur entreprise. Une salle comble pour un sujet qui, de l’avis unanime, sera avec les communications unifiées, le sujet majeur des années à venir pour un enjeu fort de réduction de coût et d’accroissement de la compétitivité des entreprises.
Jacques Heitzmann
Président de l’atelier ToIP
Conférence VOiP au salon TEC
La conférence sur VOIP qui s’est déroulée le 5 juin 2008 à l’occasion du salon TEC Solution à la CCIP de Paris:
Autour de la table:
- David Daville, le journaliste qui dirige la conférence
- Monsieur SERRE, directeur du développement de la société Ipnotic Telecom
- Monsieur Koleilat, président fondateur de la société Acropolis Télécom
- Monsieur Heitzmann, président de la société JAITO consultant telecom
Les questions du journaliste portaient sur la migration de la téléphonie traditionnelle vers la téléphonie sur IP, l’apport en économie, l’enrichissement en fonctionnalités, et enfin sur la convergence du fixe et du mobile.Le débat, sous la houlette du modérateur fut très animé. Les visions des deux opérateurs – Ipnotic Telecom et Acropolis Telecom – étaient et restent opposées.Si le débat, très technique, n’a pas pu répondre à toutes les questions il n’en fut pas moins très enrichissant.
Samir Koleilat
Président de l’atelier MvNo
Evolution des technologies vocales
Daniel Hong, analyste de Datamonitor annonce que les technologies vocales prennent leur essor et estime le marché à plus de 2 milliards de dollars, avec une croissance forte dans l’embarqué.
Si ces technologies existent depuis les années 50, il a fallu attendre l’augmentation des puissances de calcul et l’amélioration des algorithmes pour les voir devenir efficaces. Les GPS haut de gamme comme le TomTom 920 prennent vocalement leurs commandes, Microsoft envahit les véhicules avec SYNC, les réveils se programment à la voix et même Indesit sort un four à commande vocale. Et ce n’est que le début !
Du côté de la biométrie, le vocal fait aussi son apparition, en reconnaissant l’empreinte vocale des interlocuteurs, que ce soit pour authentifier … ou mesurer le stress et les tentatives de fraudes … Tout n’est pas encore parfait, mais cela ne saurait tarder, avoue James Larson du W3C Voice Browser Working Group.
Dans les hôpitaux, les analyses sont écrites en dictée vocale et les dossiers gérés avec nettement plus de rapidité qu’auparavant. Le ecommerce profite aussi de ces avancées pour prendre des commandes lorsque le centre d’appel est débordé, comme chez Ideal Shopping ou Nespresso.
La synthèse aide les handicapés, en les rendant mobiles grâce à une simple clé USB, afin qu’ils puissent se faire un texte depuis tout ordinateur, ou en rendant accessible les livres au format DAISY, initié par Microsoft.
Les robots ne sont pas en reste, le fameux ASIMO peut jouer à Pierre-feuille-ciseaux, face à trois personnes, en reconnaissant l’interlocuteur précis.
Philippe Poux
Président de l’atelier Solutions vocales et relation client
Logiciel Libre et FLOSS
Le Workflow, terme à la mode pour dire séminaire international sur le FLOSS, appellation courant à Bruxelles Free LIbre Open Source System, traduisent une volonté du monde universitaire de s’investir dans le logiciel libre comme objet d’étude.
C’est le cas le 26 et 27 juin à Rennes.
Les thèmes traités portant sur les conditions du succès d’un projet LL, le pourquoi du choix du libre, savoir si le solutions hybrides sont un phénomène temporaire ou durable, une évaluation empirique de la coopération dans le libre par rapport au marketing traditionnel, innovation avec ou sens les droits de la propriété industrielle, les tendaneces vers les nouveaux modèles hybrides de développement.
Ce qui a intéressé les organisateurs, c’est l’apport de terrain sur l’observation de ce qui se passe dans les PME et les transformations annoncées, comme démarche innovante dans l’usage des TIC pour une meilleure compétitivité des entreprises. Un éclairage concret et nouveau sur un facteur de compétitivité jusqu’ici inexploré pour les PME.
Yvon Rastetter
Atelier Logiciel Libre
FTTH et ODEBIT
Forum ATENA est partenaire d’ODEBIT du 23 septembre au 25 septembre 2008 à Paris la Défense, Cnit La Défense.
Le salon ODEBIT, solutions haut débit & applicatifs pour les collectivités locales, est une exposition des prestataires spécialisés dans l’aménagement, la gestion et le développement des territoires grâce aux TICS.
Rolland Tran Van Lieu
Président de l’atelier FTTH
Projets en cours
En préparation pour la rentrée : Quatre événements Forum ATENA.
Vous souhaitez y prendre la parole, présenter votre approche, cliquez sur le lien contact qui suit l’atelier qui vous intéresse.
- Atelier Sécurité : Le peer to peer et la sécurité (contact)
- Atelier Juridique : L’identité numérique : La gestion des droits dans le système d’information des entreprises (contact)
- Atelier WiMAX : WiMAX, après le temps des promesses : La Réalité (contact)
- Atelier ToIP : Communications unifiées et travail collaboratif (contact)
ODEBIT
Forum ATENA est partenaire d’ODEBIT du 23 septembre au 25 septembre 2008 à Paris la Défense, Cnit La Défense.
Le salon ODEBIT, solutions haut débit & applicatifs pour les collectivités locales, est une exposition des prestataires spécialisés dans l’aménagement, la gestion et le développement des territoires grâce aux TICS.
Groupe Solutions
Forum ATENA est partenaire du Groupe Solutions, spécialiste de l’organisation de manifestations très ciblées dont l’objectif permanent est d’apporter à chaque visiteur une information sur son marché, et d’offrir à chaque exposant un retour rapide sur investissement.
Citons parmi les prochains salons organisés par Groupe Solutions : ERP, SERVEURS & APPLICATIONS, E-ACHATS, Solutions Démat’ les 30 septembre , 1er et 2 octobre 2008 CNIT Paris la defense
et convergence IP bine sur
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